Excellente nouvelle pour les étrangers concernant un pays de l'espace Schengen. Le Portugal, dans une démarche audacieuse visant à dynamiser son économie, s'apprête à introduire des allègements fiscaux pour les étrangers.
Le gouvernement portugais, dans une démarche visant à dynamiser l'économie du pays et attirer des travailleurs hautement qualifiés, a décidé de rétablir les allégements fiscaux pour les étrangers. Cette initiative fait partie d'un ensemble de 60 mesures adoptées récemment, incluant diverses incitations fiscales, comme le rapporte SchengenNews. Ces mesures sont particulièrement avantageuses pour les étrangers, y compris les Algériens, qui envisagent de vivre et travailler au Portugal. En plus de ces incitations fiscales, les citoyens portugais vivant à l'étranger pourront également en bénéficier, sans les conditions strictes de résidence fiscale précédentes.
Les travailleurs Algériens qui souhaitent s'installer au Portugal peuvent sauter sur cette occasion, notamment les ceux qui souhaiteraient obtenir un visa 3D. En rétablissant ces allégements fiscaux et en s'attaquant à la crise du logement, le pays offre des opportunités intéressantes pour les travailleurs étrangers désireux de s'y installer dans le pays.
Le Portugal privilégie les travailleurs étrangers
Selon Joaquim Miranda Sarmento, le ministre des Finances portugais, ces allégements fiscaux excluront les impôts sur les « dividendes, les plus-values et les pensions ». Cela signifie que les travailleurs étrangers bénéficieront d'un taux forfaitaire de 20 % sur l'impôt sur le revenu pour leurs salaires et revenus professionnels. « Nous avons besoin de travailleurs qualifiés et de croissance économique. Nous devons trouver un équilibre entre cela et des logements plus abordables », a déclaré Sarmento, soulignant l'importance d'attirer des talents tout en abordant la crise du logement.
Parallèlement, le gouvernement portugais a décidé de taxer les pensions de retraite des étrangers. Une mesure qui avait été critiquée sous l'exécutif précédent. Initialement, ces pensions étaient exonérées d'impôt, mais un taux forfaitaire de 10 % avait été introduit plus tard. Cette décision vise à répondre aux plaintes des pays nordiques, qui estimaient que ces allégements fiscaux empêchaient leurs retraités de payer des impôts dans leur pays d'origine.